mardi 31 mars 2009

Peine d'amour d'une fille ordinaire,en quelques textes, à travers le temps.

À toi, cela a été écrit le 30-03-2009, quelque peu après minuit:

Si je pouvais t'écrire, j'aimerais te dire que je n'ai pas trouvé de remplacement digne de toi.
Oui, même après 5 mois. Même après 3 mois de pleurs.
J'aimerais te dire que je ressens un grand vide. C'est peut-être pour cette raison que je pense à toi plus fréquemment qu'il faudrait. Ou c'est parce qu'aucune fille, aucun gars ne semble s'intéresser à moi. Ou c'est parce que je me sens si laide et insignifiante, invisible. Je suis le néant.
Oui, malgré l'arrivée du printemps. Oui, malgré l'école, le boulot, les amis et les connaissances. Malgré la musique, malgré la prose, malgré la beauté de ce monde...
On dit «when it rains, it pours», ben oui, ces Anglais n'étaient pas fous quand même. Tu te prépares pour ton voyage, ta relation de couple est en meilleure santé que jamais. Mais que faire avec mon incapacité d'écouter Regina Spektor? Pourquoi dois-je renoncer à cette musique merveilleuse, juste parce que...parce que c'est toi qui me l'a faite découvrir. Juste parce qu'une douleur venant de loin, mais qui est si familière me déchire lorsque j'entends ces paroles...« and if i kiss you where it's sore, would you feel better, better, better, would you feel anything at all?»...
Tu es cet idéal, ce rêve auquel je songe en attendant l'arrivée d'un autre. Différent, mais tout aussi intense et puissant, si cela est possible.
Mais c'est l'attente qui estdouleureuse...non, déporvue de sens. Mais il n'y a qu'une chose que je te supplierais de faire...ne m'oublie pas, ok?

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