dimanche 9 novembre 2008

Texte numéro 3, oui, oui, le dernier.Oui,Oui, écrit cet hiver.

À toi qui provoque cette mélancolie nocturne. À toi qui n'es pas là. À toi qui est l'inspiration de cette écriture merdique et quétaine. Toi qui es irremplaçable. Toi qui exagères bien souvent. À toi qui me manques. À la dernière, toute nouvelle déception amoureuse. Buvons à cela! À mon cynisme incorrigible. À l'une des histoires à la The way we were. À ces précieux instants passés avec toi. À toi qui oses me rappeller de tous ces sentiments. À mon incapacité d'exprimer ce que je ressens en ce moment. Au désespoir. Aux filles qui auront à se comparer à ta manière de parler vite, de chercher de savoir sur le pays perdu qui est la Serbie, à toi qui es un chat. À toutes chansons qui auront à me faire penser à toi. À tes cheveux frisés. À l'incroyable façon que tu employais pour que je me sente si unique. Si Serbe. À Borat. À toutes les fatalités de la vie.

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